Le divorse de Bourguiba – Wassila
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Le divorse de Bourguiba – Wassila
Bourguiba – Wassila : Du coup de foudre au divorce : Leur histoire d’amour racontée par Lamine Bellagha
Compagnon de route du “Combattant Suprême” dès les années quarante et ami intime du couple Bourguiba, Maître Lamine Bellagha nous raconte la fabuleuse histoire d’amour qui a uni Bourguiba et Wassila pendant près de cinquante ans... La fin fut moins belle et souvent très douloureuse. Maître Lamine Bellagha la rapporte sans concession. Tout le récit est truffé d’anecdotes et de faits souvent inédits. C’est notre manière à nous de fêter le 102ème anniversaire de Bourguiba. Bonne lecture Un amour de jeunesse «Tahfouna aux belles petites mains « était sa voisine, au sein de la famille Ben Ammar, pendant toutes ses années au Collège Sadiki. Le père de Wassila, le Bâtonnier M’Hamed Ben Ammar, point surpris, disait à son ami Ali Bourguiba en parlant de son fils : ( ) Ce fut la première, et non la dernière rencontre entre trois destins, en ajoutant celui de la Tunisie, malgré le silence de Bourguiba pendant son séjour à Paris pour ses études en Droit, grâce à cette journée du 12 avril 1943. Que s’était-il donc passé ce jour-là ? « Ma fascination. Devant cette dame rencontrée, retour de France après ma libération de la prison de Marseille, chez mon frère Ahmed, dont la beauté et la distinction étaient telles que j’avais peine à maîtriser mes émotions.» Depuis, chaque jour, Bourguiba allait à Hammam- Lif pour voir Wassila où elle était réfugiée avec ses parents. Sa mère, avec le tact que tout le monde lui connaît, l’avait pris à part pour lui dire : « Ecoute, Habib, ne brise pas deux foyers, le tien et celui de ma fille mariée et mère d’une petite fille». Pas plus tard que le lendemain, il avait demandé Wassila en mariage. Toute la famille : Wassila, sa mère, son frère Mondher et sa sœur Neila, tous, d’une seule et même voix, avaient opposé un refus. Et l’amour triomphe Bataille perdue ? Nullement, car la politique des étapes entra en scène. Au lieu du succès, ce furent les échecs. Mondher, sitôt reçue la lettre de Bourguiba, dont j’étais porteur, sa réponse était prête et moi de retour à Tunis, sans même me laisser une matinée pour visiter l’Exposition Universelle de Bruxelles, inaugurée le même jour. Depuis avaient suivis les échecs rencontrés par Hassen Belkhodja, Mohamed Masmoudi et Taieb Mehiri. La mobilisation de tous les dirigeants du Parti, de tous les ministres....
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Compagnon de route du “Combattant Suprême” dès les années quarante et ami intime du couple Bourguiba, Maître Lamine Bellagha nous raconte la fabuleuse histoire d’amour qui a uni Bourguiba et Wassila pendant près de cinquante ans... La fin fut moins belle et souvent très douloureuse. Maître Lamine Bellagha la rapporte sans concession. Tout le récit est truffé d’anecdotes et de faits souvent inédits. C’est notre manière à nous de fêter le 102ème anniversaire de Bourguiba. Bonne lecture Un amour de jeunesse «Tahfouna aux belles petites mains « était sa voisine, au sein de la famille Ben Ammar, pendant toutes ses années au Collège Sadiki. Le père de Wassila, le Bâtonnier M’Hamed Ben Ammar, point surpris, disait à son ami Ali Bourguiba en parlant de son fils : ( ) Ce fut la première, et non la dernière rencontre entre trois destins, en ajoutant celui de la Tunisie, malgré le silence de Bourguiba pendant son séjour à Paris pour ses études en Droit, grâce à cette journée du 12 avril 1943. Que s’était-il donc passé ce jour-là ? « Ma fascination. Devant cette dame rencontrée, retour de France après ma libération de la prison de Marseille, chez mon frère Ahmed, dont la beauté et la distinction étaient telles que j’avais peine à maîtriser mes émotions.» Depuis, chaque jour, Bourguiba allait à Hammam- Lif pour voir Wassila où elle était réfugiée avec ses parents. Sa mère, avec le tact que tout le monde lui connaît, l’avait pris à part pour lui dire : « Ecoute, Habib, ne brise pas deux foyers, le tien et celui de ma fille mariée et mère d’une petite fille». Pas plus tard que le lendemain, il avait demandé Wassila en mariage. Toute la famille : Wassila, sa mère, son frère Mondher et sa sœur Neila, tous, d’une seule et même voix, avaient opposé un refus. Et l’amour triomphe Bataille perdue ? Nullement, car la politique des étapes entra en scène. Au lieu du succès, ce furent les échecs. Mondher, sitôt reçue la lettre de Bourguiba, dont j’étais porteur, sa réponse était prête et moi de retour à Tunis, sans même me laisser une matinée pour visiter l’Exposition Universelle de Bruxelles, inaugurée le même jour. Depuis avaient suivis les échecs rencontrés par Hassen Belkhodja, Mohamed Masmoudi et Taieb Mehiri. La mobilisation de tous les dirigeants du Parti, de tous les ministres....
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Dernière édition par Admin le Jeu 9 Déc - 10:25, édité 1 fois
Re: Le divorse de Bourguiba – Wassila
Très intéressant.
Mezri- Nouveau
- Messages : 67
Date d'inscription : 03/10/2008
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